dimanche 25 janvier 2015

Percy Jackson, le voleur de foudre


Intriguée par le succès fulgurant de la saga Percy Jackson, j'ai rapidement entamé le premier volume qui s'intitule le voleur de foudre. Première impression: c'est plutôt sympa ! On retrouve de nombreuses similitudes avec l'indémodable Harry Potter - dont je reste une fan absolue -, mais sans tomber dans la copie. En fait, on apprécie de se retrouver à nouveau plongés dans le quotidien d'un héros qui se découvre, qui apprend à se familiariser avec ses nouveaux pouvoirs...

Le vie n'est pas facile tous les jours pour l'adolescent. Dyslexique, hyperactif, il ne trouve définitivement pas sa place au collège. Jusqu'au jour où le secret lui est enfin révélé, Percy est un Demi-Dieu. Poursuivi par un minotaure, il va devoir intégrer l'école destinée à le former au combat. Il apprendra ainsi à se protéger de ces dangereuses créatures mythologiques qui croisent aléatoirement son chemin. Là-bas, il retrouve Grover qui est en réalité un satyre, et fait la - charmante - rencontre d'Annabeth, fille d'Athéna, déesse de la sagesse. Il découvre également l'identité de son père, Poséidon, ainsi que la nature de ses pouvoirs liés à l'eau. Victime d'un complot dans lequel on l'accuse d'avoir dérobé la foudre de Zeus, il s'engage dans une mission périlleuse afin de prouver son innocence et de retrouver le véritable coupable. Accompagnés de Grover et Annabeth, il devra notamment descendre dans les enfers où sa mère est retenue captive par Hadès...
Sur fond d'intrigue, on bascule ainsi dans un univers mythologique parsemé de créatures étranges et fantastiques. En avant satyres, centaures, ou encore furies ! - Attention, risque de nombreux flashbacks en classe de latin si vous êtes dans mon cas -. Puis cette première impression perdure, et on finit par dévorer le livre, mais aussi par découvrir qui est ce diabolique voleur de foudre. On découvre également l'identité de celui qui s'impose comme le grand méchant à combattre par la suite - Bon celui-là au moins on peut prononcer son nom.

En ce qui concerne l'adaptation cinématographique, je lui ai laissé une chance de me convaincre.

Même si on est heureux de voir s'incarner le personnage de Percy, plein d'humour, de rébellion et de puissance parfois - c'est quand même pas donné à tout le monde de créer des tsunamis s'il te plaît -, on ne peut que crier intérieurement lorsqu'on voit que la fin a totalement été bousculée, jusqu'à évincer Arès, décrit dans le livre comme une sorte de motard baroudeur aux yeux de flammes. Tellement impatiente - surtout avec les moyens hollywoodiens actuels - de voir ce combat EPIQUE avec le Dieu de la Guerre, je finis sur une note amère, déçue. Et ça, c'est vraiment impardonnable. Vous pouvez donc passer votre chemin sans problème.
Rien ne vaut, une nouvelle fois - et on pourra le dire mille fois -, la version originale du livre!

Percy Jackson, Rick Riordan 


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